Un
projet pour libérer le centre-ville
Création d'un passage inférieur de 15
mètres d'ouverture sous la ligne de grande
ceinture pour une liaison directe depuis la sortie
de la forêt de St Germain vers le nouveau pont de Seine, sans
passer par le centre-ville. Ce sera l'enchainement des avenues
Eisenhower, de Versailles, et Bd Gambetta. Les tabliers sont
posés avant déblaiement du tirant d'air de
l'ouvrage.
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Plan du projet...où l'on évoque la RN 13 |

Plan suite |

Mise en place d'un tablier en béton par ripage sur rails
provisoires
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Retrait des
tabliers métalliques provisoires
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Retrait des tabliers à l'aide de grues ferroviaires
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Retrait des
tabliers provisoires
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Création des murs de soutènement et des appuis
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Mise en place
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Mise en place, suite
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Nivellement et
dressage de la plateforme V1
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Nivellement et
dressage de la plateforme V1
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Nivellement et
dressage de la plateforme V1
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Nivellement et dressage de la plateforme V1 |
RN 13 en
1949, RD 190 aujourd'hui : une histoire complexe :
Sous la Révolution, La route de 40 sous, de St Germain
à
Orgeval par Chambourcy et La Maladrerie de Poissy, devint la
“route départementale de 4e classe n°
19”. Puis,
à la Restauration, la “route royale de 3e classe
n°
19”, et à l’abolition de la monarchie la
“route nationale n° 190” sous le IIe
République.
Le Second Empire la baptise “route impériale
n°
190” et elle reprend le nom de “route nationale
n°
190” sous la IIIe République.
Enfin, elle devint “route nationale 13” en 1951, en
échange de numéro avec celui de
l’itinéraire
de rive droite via Meulan. Enfin en 1976, elle est partiellement
déclassée en “route
départementale n°
113” entre l’échangeur autoroutier
d’Orgeval
et Mantes.
Bis
repetita ?
La réalisation du Tram 13 prévoyait vers 2023 le
doublement
de l'ouvrege construit en 1953. Le projet final à mettre en
service en 2028 prévoit la suppression pure et simple de
l'ouvrage.
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