BB 17000 En 2006, nous avons réussi l'exploit,en collaboration avec le Courrier des Yvelines,  de placer ces anonymes à la une de la presse locale ! (Photo de notre site et article en pages intérieures)  Depuis l'électrification du secteur de Poissy en 1966, leur silhouette a profondément marqué le paysage ferroviaire de notre région. Elles méritent donc une page spéciale, parmi les autres locomotives  monocourant. En 2014, elles restent présentes à Poissy au service du Transilien, au crochet des rames inox dont elles peuvent seules assurer la traction/pousse,  et parfois de rames à deux niveaux en  remplacement dans ce cas des modernes BB 27000. 1966 -  La traction des rames de banlieue change, les voitures restent. Vitesse limite 140 KM/H, après une période à 150 km/h Service grandes lignes et fret,  puis banlieue exclusivement - Affectées notamment  au dépôt d'Achères - Elles parcourent actuellement au départ de Paris St Lazare les itinéraires de Paris à Mantes et Gisors et au delà vers Rouen et Serquigny
Achères mai 1976 -  Cette rame qui se dirige vers Paris comporte encore des voitures anciennes	1975 - En pousse d'une rame inox, cette 17000 s'engouffre sous le pont de la Grande Ceinture ouest, à la bifurcation des Ambassadeurs - Achères		17 000 en pousse, cette rame inox quitte Villennes en direction de Mantes
Eté 1975 - La 17028 manoeuvre à Paris Batignolles après avoir acheminé un train de "wagons-kangourou" depuis Le Havre via le Val de Seine. Photo Christian Spoor Deux vues de 17 000 au crochet de rames Talbot sur le site d'Achères		Arrêt à Achères Grand-Cormier en 1975 de la 17057 qui tracte une rame inox. Cette BB 17000 traverse la Seine à sartrouville en tête d'un express en 1970. Arrêt à Epône Mézières en 1974 de la 17010 qui pousse une rame inox. Photo JP Hameau	1971-Bifurcation des Ambassadeurs Un train de grande ligne composé de voitures anciennes se dirige vers Paris En octobre 1973, cette compostion passe devant la  centrale de Porcheville.  Le groupe charbon et les 4 cheminées se dressent toujours dans le paysage, tandis que  le groupe fuel est  en construction.
A partir de 1976, elles adoptent une livrée grise et orange pour s'harmoniser avec les nouvelles voitures à deux niveaux VILLENNES - A partir de 1976, les 17000  en nouvelle décoration remorquent encore les anciennes voitures Talbot, les anciennes voitures Etat à deux niveaux, outre les rames inox et les nouvelles voitures oranges à deux niveaux. Achères, rame poussée en direction de Poissy Peu avant son retrait du service, la 17029, dernière à porter la livrée orange, est  vue fin 2009 dans la courbe entre Villennes et Poissy en tête d'un TER Evreux-Paris VILLENNES 1976 - Jusqu'au début des année 1980, les BB 17 000 ont assuré régulièrement du trafic marchandises; par la suite, le trafic banlieue les a accaparées, tandis que les locomotives bicourant, qui franchissaient sans encombre les frontières électriques de la région parisienne,  notamment basées à Achères, étaient affectées au fret. La modernité des années 1980 - dans la courbe de Villennes, une 17000 qui porte encore ses numéros en aluminium, remorque une rame à deux niveaux récente A  la fin des années 1980, elles recoivent une livrée tricolore francilienne, puis la livrée "en voyage"
Achères Poissy Conflans		En tête de rames Hte Normandie, antérieurement oranges, à Villennes En tête d'une rame Transilien en seconde livrée,  à Poissy en décembre 2007	Entre Villennes et Poissy